1Les Enjeux internationaux - le Lun 31 Jan 2011, 08:03
Rappel du premier message :
On devrait repasser la chronique de François Tual, de ce matin, en boucle dans tous les journaux de FC: il nous dit que le problème de l'égypte n'est pas politique, ni sociologique, mais structurel: lle nombre d'habitants a démesurément augmenté, il y a 18 millions d'habitants au Caire, 3 millions à Giseh, 60 millions dans toute l'Egypte, pour un espace cultivable de 145 millions de km2. la moitié des gens sont illettrés.
Quand on entend la plupart des journalistes ou certains producteurs d'émissions excités comme des puces, à interroger des manifestants au hasard et raconter n'importe quoi, parce qu'ils ont peur de ne pas être au coeur du sujet, ça fait plaisir d'entendre ce discours. Il rappelle aussi que pour les Etats-unis, dans ce secteur, ce qui importe c'est la libre circulation du pétrole et que la recherche de démocratie n'est qu'un habillage. Evidemment!
Le problème des journalistes est qu'ils n'ont pas vu venir la "révolution" de Tunisie et qu'ils sont vexés comme des poux. Alors, ils cherchent à se rattraper en Egypte en sautant sur n'importe quoi. Lamentable!
On devrait repasser la chronique de François Tual, de ce matin, en boucle dans tous les journaux de FC: il nous dit que le problème de l'égypte n'est pas politique, ni sociologique, mais structurel: lle nombre d'habitants a démesurément augmenté, il y a 18 millions d'habitants au Caire, 3 millions à Giseh, 60 millions dans toute l'Egypte, pour un espace cultivable de 145 millions de km2. la moitié des gens sont illettrés.
Quand on entend la plupart des journalistes ou certains producteurs d'émissions excités comme des puces, à interroger des manifestants au hasard et raconter n'importe quoi, parce qu'ils ont peur de ne pas être au coeur du sujet, ça fait plaisir d'entendre ce discours. Il rappelle aussi que pour les Etats-unis, dans ce secteur, ce qui importe c'est la libre circulation du pétrole et que la recherche de démocratie n'est qu'un habillage. Evidemment!
Le problème des journalistes est qu'ils n'ont pas vu venir la "révolution" de Tunisie et qu'ils sont vexés comme des poux. Alors, ils cherchent à se rattraper en Egypte en sautant sur n'importe quoi. Lamentable!